« Comme on passe, en été, le torrent sans danger
Qui soulait en hiver être roi de la plaine »
C’est vrai qu’au plus chaud de l’été, le niveau de la rivière est très bas et les nénuphars à fleurs jaunes ont tout juste assez d’eau pour y fleurir.
Fait, ce matin, le tour du jardin : impressionnantes fleurs blanches du sureau, étincelantes des gouttes de pluie de la nuit passée, le rosier sous le sapin n’a qu’une rose ouverte, une sorte de rose avec peu de pétales et qui ressemble à la rose de Provins. La lavande, près du vieux puits, semble annoncer une assez bonne floraison. Le cerisier porte des cerises encore vertes, le pommier des pommes petites comme des billes. Le rosier aux roses jaunes se sert du lierre mort, pour escalader le mur…
Scié, cet après-midi, du bois, empilé des bûches, à l’intérieur de la véranda.
Sur mon site internet de poèmes, j’ai mis le point final au recueil intitulé « Le ciel est couleur d’encre » : on sent, à l’intérieur de soi, que les pages des poèmes d’une certaine tonalité sont tournée, et qu’une autre saison s’ouvre, en vous. Je mets en ligne, à présent, une suite de poèmes nouveaux, dont j’ai écrit le premier aujourd’hui même, sous le titre de « Force de la douceur », tout en poursuivant la mise en ligne, commencée, il y a plusieurs semaines, des poèmes de « Fin de Siècle ».
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