"Nous aimons la terre où nos aïeux ont vécu." (Maurice Barrès, Mes Cahiers 1896-1923, Plon, 1993, p. 289) : Dieu merci, mes racines sont dispersées dans plusieurs pays d'Europe et, malgré mon admiration pour l'auteur de La Colline inspirée, je ne peux manger de ce pain nationaliste-là.
Je préfère penser que les mots sont ma seule patrie.
Je préfère penser que les mots sont ma seule patrie.
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