« La grande
affaire devant une œuvre d'art, monument, symphonie, poème, c'est
de sentir ce qu'elle prouve, d'atteindre derrière le signe à la
réalité, d'entrer en communication avec cette réalité, de saisir
une âme sous la pierre, sous les mots, sous les sons, de s'en
augmenter. » (Barrès,
Mes
Cahiers 1896-1923,
p. 661, Plon, 1993). Certes, mais on ne « s'en
augmente » pas seulement, on se déleste, aussi, à travers
elle, de ses désespoirs, accédant, ainsi, à une légèreté
inaccoutumée : « sic itur ad astra. »
(Virgile)
H./Ven/20/6/14/11H
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