Dans les pages que Barrès
consacre à la Grande Guerre, dans ses Cahiers 1896-1923,
(Plon, 1993, p.737, sqq) on sent une vibration, l'écrivain
sait que des milliers d'hommes meurent de mort violente, au moment
même où il écrit : il n'est plus temps de ratiociner.
H./Jeu/3/7/14/19H30
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