Ma devise préférée, par instants, est celle des anarchistes : "Ni Dieu, ni Maître". En écrivant le mot "maître", dans ce contexte, je pense surtout aux maître spirituels, aux gourous de tout poil, à ceux qui s'instituent les maîtres à penser d'autrui.
Si Chateaubriand est un maître, à mes yeux, c'est, essentiellement, un maître à écrire : "Si j'ai jamais senti à la fois la vanité et la vérité de la gloire et de la vie, c'est à l'entrée du bois silencieux, obscur, inconnu, où dort celle qui eut tant d'éclat et de renom, et en voyant ce que c'est que d'être véritablement aimé." (p. 184, op. cit.)
Si Chateaubriand est un maître, à mes yeux, c'est, essentiellement, un maître à écrire : "Si j'ai jamais senti à la fois la vanité et la vérité de la gloire et de la vie, c'est à l'entrée du bois silencieux, obscur, inconnu, où dort celle qui eut tant d'éclat et de renom, et en voyant ce que c'est que d'être véritablement aimé." (p. 184, op. cit.)
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