La mort est omniprésente dans certaines phrases du Tome IV des Mémoires d'Outre-Tombe . Ainsi : " Antonio me disait : "Quand ce cimetière sera plein, on le laissera reposer, et on enterrera les morts dans l'île Saint-Michel de Murano." L'expression était juste : la moisson faite, on laisse la terre en jachère et l'on creuse ailleurs d'autres sillons." (fin du chapitre 9, Livre trente-neuvième, p.413, op.cit.)
Mais , dans le chapitre suivant (chapitre 10 du Livre trente-neuvième), qui s'ouvre par cette phrase qui poursuit la métaphore du chapitre précédent "Nous sommes allés voir cet autre champ qui attend le grand laboureur.", il y a cette phrase que je juge violente (à moins que je ne la comprenne pas) : "un jardin rempli de fleurs va rejoindre le gazon dont l'engrais se prépare encore sous la peau fraîche d'une jeune fille." (p. 413, op.cit.)
Mais , dans le chapitre suivant (chapitre 10 du Livre trente-neuvième), qui s'ouvre par cette phrase qui poursuit la métaphore du chapitre précédent "Nous sommes allés voir cet autre champ qui attend le grand laboureur.", il y a cette phrase que je juge violente (à moins que je ne la comprenne pas) : "un jardin rempli de fleurs va rejoindre le gazon dont l'engrais se prépare encore sous la peau fraîche d'une jeune fille." (p. 413, op.cit.)
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