Dans le Tome IV des Mémoires d'Outre-Tombe , que je lis encore et toujours , ces lignes que je juge merveilleuses : "Lecteurs, supportez ces arabesques ; la main qui les dessina ne vous fera jamais d'autre mal ; elle est séchée. Souvenez-vous, quand vous les verrez, qu'ils ne sont que les capricieux enroulements tracés par un peintre à la voûte de son tombeau." (p. 360, op. cit.)
mardi 23 décembre 2008
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1 commentaire:
C'est majestueux, en effet... et bouleversant.
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